Première console 128bits, la Dreamcast a marqué le monde vidéoludique lors de sa sortie.
Ses capacités techniques lui ont permis de tenir la dragé haute face à son principal concurent Sony.
Tout dabord son support le GDROM, exclusivité Sega, ce système a été aussi employé en arcade dans la Naomie, dont la Dream en est une sorte de version de Salon. Cela lui a permis d'obtenir des conversions de jeux d'arcade quasi à l'identique, voir même identique.
Outre ceci la console possédait une mémory card trés spéciale, que l'on appel VMU, à écran crytoliquide, dont on pouvait se servir comme Tamagoshi, ou mini console.
La console était pourvue de 4 ports manettes, mais son autre grande spécificité c'est son accés internet, la Dreamcast était la 1ère des consoles modernes à en être pourvue. On pouvait donc dès lors se servir du clavier et de la souris sortis pour l'occasion.
La machine compte un nombre incalculable de titres, mais dont la plupard ne sont pas sortis du Japon, dut à une politique commerciale trop frileuse de la part de Sega.
La console possède une côte d'amour trés particuliére, à tel point que malgrés l'arrêt de la production en 2002, des jeux continuent à sortir.
La machine fut un succés commercial retentissant pour Sega, eux même ne s'y attendaient pas, mais elle fut la dernière machine construite par le géant nippon, qui ne sait jamais relevé des échecs succèssifs du Megacd, 32X et Saturn et préféra se recentrer sur son 1er métier, développeur.
Hitachi SH-4 de type RISC, contenant une unité de calcul vectoriel 128 bits (fréquence des opérations : 200 MHz 360 MIPS/1.4 GFLOPS)
PowerVR2 DC (capable de tracer plus de 3 millions de polygones par seconde) conçu par NEC/VideoLogic
640x480
16Mo, 8Mo video, 2Mo son